Nous sommes toujours à Bagan en Birmanie,  et nous avons eu la chance de rentrer dans une école où les enfants prennent plaisir à apprendre, c'est pour eux un privilège lorsqu'ils en ont la possibilité. Ici, à Bagan, l'école est payé par les moines.

 Le niveau scolaire des enfants birmans est très faible,    et une des raisons principales en est la grande pauvreté d'une importante partie des 55 millions d'habitant.

L'État consacre environ à peine 2 % de son budget pour l'éducation et 45 % pour l'armée !!! 

Quant aux professeurs ils demeurent mal formés, sous-payés et parfois maltraités, surtout s’ils ne satisfont pas aux exigences du gouvernement.

J'ai été très émue devant tous ses enfants...

La photo n'est pas de moi, mais elle reflète bien mon retour sur l'herbe verte....

Non, les papillons ne sont pas encore là, mais on peut rêver...

Je vous remercie de votre passage et je vais essayer de reprendre un peu mon blog abandonné et de passer vous voir prochainement.

Les environs de BAGAN

Bagan est un lieu magique, il suffit de grimper sur l'un des 2 000 temples du site au coucher du soleil, pour comprendre. Des plus de 4 000 pagodes, temples et stûpas construits entre le XIe et le XIIe siècle, un nombre suffisant a survécu pour nous permettre de savourer ce patrimoine architectural fabuleux. Bagan offre un vrai spectacle à chaque heure du jour, un choc artistique...

J'ai programmé cet article, et je mets mon petit blog en pause pour quelques jours.

LA PLAINE DE BAGAN

Parmi toutes les merveilles qui évoquent la richesse culturelle de la Birmanie, celle qui attire le plus de monde est à n’en pas douter la plaine de Bagan et ses 2000 pagodes.

Mais rien ne prépare vraiment le visiteur non averti à la surabondance, on pourrait même parler de débauche, de pagodes à Bagan. Où que porte votre regard, il n’y a que ça, des pagodes, toujours des pagodes, encore des pagodes.

Je ne vous donne pas le nom de toutes ces pagodes, car déjà je ne m'en souviens plus et c'est tellement compliqué qu'on ne va pas se prendre la tête à retenir ces noms, contentons nous d'admirer.